La cohabitation est-elle l'avenir de l'architecture ?

Logement
Lundi 12 novembre 2018

Contrairement aux apparences, The Collective Old Oak à Londres n’est pas une auberge de jeunesse mais une colocation géante.




En 2016 a été inaugurée à Londres la « plus grande colocation du monde ». The Collective compte 546 chambres, des espaces de co-working (= cotravail), des cafés et restaurants, des espaces de sport et de loisirs, une laverie, ainsi qu’une bibliothèque. Un tel lieu suggère un nouveau concept d’habitation en ville, le co-living qui offre un espace de vie où prévalent les principes de communauté et la convivialité entre voisins.

L'actualité de la cohabitation ne s’explique pas uniquement par des raisons financières : des facteurs sociaux comme le déclin du modèle de la famille nucléaire et l’émergence de nouvelles formes de travail la rendent de plus en plus attractive. Les concepts nouveaux se caractérisent par le mélange de générations, et se distinguent ainsi clairement des modèles de colocation traditionnelle, jusqu’alors majoritairement occupée par des étudiants. Elle n’est désormais plus envisagée comme habitat temporaire, mais comme une solution où jeunes et vieux apprennent à vivre ensemble, en respect et solidarité, pour un logement commun à long terme.

Lire l'intégralité de cet article sur Demain la Ville.

Partenariat

Demain la Ville est un blog de réflexion prospective et d’échanges sur la ville durable de demain et l’innovation urbaine.